jueves, 8 de mayo de 2014

La recherche documentaire

La recherche documentaire n’est pas un thème qu’on évoque beaucoup dans le monde de la traduction, et pourtant, elle est essentielle. Il s’agit d’un travail à effectuer en amont d’une traduction et qui doit être complètement dissocié de l’acte traduisant. A la réception d’une traduction abordant un thème que l’on connaît peu, ou mal, il est essentiel de faire des recherches et d’en retirer des connaissances. La recherche documentaire au niveau universitaire consiste en plusieurs points : - Choisir un sujet sur un thème spécialisé : c’est-à-dire avec un vocabulaire spécifique important. - La recherche de textes parallèles : ces textes doivent être sur le même thème et pouvoir être ajoutés à un logiciel de mémoire de traduction, pour ensuite mettre en évidence les similarités. - Trouver le vocabulaire adéquat : c’est-à-dire la recherche de glossaires préétablis et de bases de données. Dans le cadre universitaire, les professeurs nous donnent certaines pistes. Voici quelques sites internet qui pourraient aider les traducteurs dans leur travail (principalement pour le français) ‐ http://iate.europa.eu/SearchByQueryLoad.do?method=load ‐ http://eurovoc.europa.eu/drupal/ ‐ http://www.cnrtl.fr/ ‐ http://www.oqlf.gouv.qc.ca/ressources/bibliotheque/dictionnaires/index.html - La constitution d’un glossaire pour de futures traductions : créer un lexique de mots spécialisés sur le thème du texte, en incluant leur définition, que l’on pourra éventuellement consulter pour des traductions futures. - Toujours conserver ses sources dans un fichier spécifique pour consultation ultérieure. Il est essentiel de prendre le temps d’évaluer la fiabilité des sources utilisées, afin d’établir une liste de sources de plus en plus précise. La recherche documentaire est un travail fastidieux mais essentiel pour la réalisation d’une bonne traduction. Evidemment, un universitaire a plus de temps qu’un professionnel pour effectuer cette tâche ; mais le métier de traducteur requiert une formation continue, qui doit sûrement inclure cette recherche d’informations, ne serait-ce que pour se tenir au courant de l’évolution de l’usage de la langue vers laquelle il traduit.

domingo, 23 de febrero de 2014

Ist die englische Sprache eine Bedrohung?



Im Rahmen des Internationalen Tags der Muttersprache der UNESCO zur „Förderung sprachlicher und kultureller Vielfalt und Mehrsprachigkeit“, stellt sich die Frage, welche Bedeutung eine Sprache für die Erhaltung einer Kultur hat, und was passiert, wenn eine Sprache von einer anderen stark beeinflusst wird.

Erst war ich im Internet surfen, später bin ich noch auf einen Drink zu einem coolen Event gegangen, als mich plötzlich eine Freundin auf dem Handy angerufen hat, die mit mir zusammen den Bachelor macht.

Man stößt bei einer genaueren Betrachtung der deutschen Sprache automatisch auf eine große englische Präsenz im alltäglichen Sprachgebrauch. Anglizismen werden praktisch wie von selbst absorbiert, jeden Tag kommen zahlreiche neue hinzu. Englisch ist mit ca. 500 Mio. Sprechern Weltsprache, und aufgrund der wirtschaftlichen und politischen Dominanz nicht wegzudenken. Die Verwendung von Anglizismen ist nicht automatisch negativ – oft handelt es sich um Neologismen, wie beispielsweise Software oder Computer, die eine länderübergreifende Kommunikation definitv erleichtern. Dennoch benutzen wir sehr viele englische Wörter, obwohl es im Deutschen eine Entsprechung gibt. Sprache ist Kultur. Man übernimmt mit der Verwendung also gleichzeitig einen Teil dieser Kultur.

Diese Veränderung der Sprache lässt sich nicht aufhalten, noch ist es als schlecht zu beurteilen. Dennoch ist es, gerade am Internationalen Tag der Muttersprache, sinnvoll diese Veränderungen bewusst zu erkennen, und die deutsche Sprache bewusst stolz zu verwenden und damit auch die deutsche Kultur.